Ce passage est une véritable avalanche de jeux de mots de Pâques (au grand dam d'Étienne qui se déteste pour ça).
Entre "cocos de Pâques", Jésus et chocolat, il se noie dans ses propres blagues, se sentant coupable tout en nous offrant une dose d'humour décalé.
Entre le juteux jambon et les kilos Pascal, il nous fait une mise en garde sucrée sur les dangers de l'excès. Un passage hilarant, mais qui nous laisse tout de même un petit goût de "trop" ou pas assez !